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ville de paris - Page 4

  • ET POURQUOI PAS UN BARBECUE EN LIBRE SERVICE A VANVES

    Pourquoi Vanves ne s’inspirait elle, à l’exemple de Nantes, Rennes, Grenoble, et dernièrement Paris, pour mettre en place des barbecues électriques partagés dans certains espaces verts. Avec l’arrivée des beaux jours, il est de coutume de ressortir son appareil à grillade. Mais  les barbecues sont interdits dans l’espace public à Vanves comme dans les communes franciliennes et rares sont les habitants à disposer de jardins.  

    Ainsi la mairie de Paris a décidé, pour endiguer les barbecues sauvages qui entrainent interventions policières et troubles du voisinage,  de mettre en place une expérimentation de barbecues électriques en libre-service dans certains parcs et jardins du 18e arrondissement de Paris, avec l’idée, d’accompagner cette mise en place avec par des associations, et pourquoi pas, par des organismes comme  l’Escal dans le cadre de ses activités jeunesse à Vanves. D’autant plus qu’il est fort possible de certaines jeunes vanvéens l’aient peut être déjà proposé.

    En tous les cas à Paris l’idée vient aussi des jeunes du 18e arrondissement qui devrait être intégrer au travail de mise en place. En attendant n’oubliez pas qu’en Juillet/Août chaque Mercredi, à partir de 19H30/20H, la maison paroissiale Saint Remy organise ses «barbecues de l’été», ouvert à tous, à condition d’apporter sa contribution bien sûr. Sans parler de la fête des voisins qui a vu, cette année, des barbecues party se dérouler dans une rue privatisée (avec les autorisations municipales bien sûr) le temps d’une soirée.

  • COMMENT VANVES POURRAIT SEPREPARER A VIVRE A 50° EN S’INSPIRANT DE PARIS

    A l’occasion de la session du Conseil de Paris consacré notammet à son PLU Bio-climatique,  le rapport  de la mission d’information et d’évaluation sur « Paris sous 50° » a été présenté hier. La MIE planché pendant six mois sur 85 préconisations pour adapter Paris au changement climatique et notamment à des températures très élevées. Le «50 degrés à vanves, ça n'est plus du tout de la science-fiction» si l’on reprenait l’expression  de cette mission dans son rapport concernant Paris, d’autant plus que Vanves est l’une de ses voisines et devrait s’inspirer de son PLU bioclimatique et des 85 préconisation de son grand plan chaud dont certaines pourraient être mis en place à l’échelle intercommunale avec GPSO et la métropole du grand Paris

    Parmi ces préconisations :  ouvrir des lieux frais à la population, y compris la nuit, étendre les horaires d'ouverture des parcs et jardins… Pour éviter les pics de pollution favorisés par les canicules, mettre en place des restrictions de circulation par anticipation, instaurer une «clause ICU (Îlot de chaleur urbain») dans les constructions  qui favoriserait la végétalisation en pleine terre (en imposant un pourcentage au-delà de 150 m2) ou l’isolation du bâti pour les projets financés par la Ville.  Débitumiser partout où cela est possible, notamment entre les pieds d'arbres  et au niveau des places de stationnement. Végétaliser partout où c’est possible, dans les cours, sur les toits, dans les écoles, en façade, ne plus toucher aux arbres d’alignement.  Doter la ville de «placettes oasis», conçue pour être un lieu de fraîcheur,  multiplier les points d’eau en créant des fontaines, des miroirs d'eau comme à Bordeaux, des mares…

    Les toits «plats et non patrimoniaux» pourraient être peints en blanc pour moins emmagasiner la chaleur. Quant aux constructions neuves, les élus parisiens proposent donc de mener un plaidoyer auprès de l'État pour imposer la prise en compte du confort d'été dans les normes de construction et des logements traversants pour une meilleure circulation de l'air. Mais aussi l’installation de panneaux solaires, de récupérateur d’eau de pluie. A défaut de pouvoir imposer, le PLU peut inciter fortement pour le choix des matériaux, la pierre de taille ou la brique en terre crue, le béton s’effaçant au profit de matériaux biosourcése géosourcés

    Voilà quelques idées à retenir du PLU Bioclimatique et du grand plan Chaud de Paris qui innovent dans de nombreux domaines pour les élus d’une ville qui n’arrêtent pas de se densifier au point d’exaspérer ses habitants

  • 1800 ELUS FRANCILIENS DONT 21 DE VANVES ONT SIGNE UNE TRIBUNE POUR DEMANDER PLUS DECONCERTATION SUR LE PERIPH A HIDALGO

    Bernard Gauducheau,  Dominique Broetz, Anne Caroline Cahen, Kevin Cortes, Remi Daoudi, Véronique de Leonardis, Françoise Djian, Stephanie Gazel, Ury Israel, Abdelfattah Lakhlifi, Nathalie Le gouallec, Xavier Lemaire, Marc Machado, Xavière Martin, Erwan Martin, Julie Messier, Bernard Roche, Charles Eric Van de Casteele Pascal Vertanessian, Christiane Vlavianos, Bertrand Voisine… élus de la majorité municipale, font partis des 1800 élus franciliens qui ont  signés une tribune publiée dans le JDD du 28 mai, à l’initiative de Vincent Jeanbrun et Rachida Dati, présidents respectivement des Groupes LR au Conseil régional et au Conseil de Paris,  pour  s'insurger contre la « volonté unilatérale d’Anne d’Hidalgo et sans aucune concertation avec nous »  de  réserver après les JO de 2024, une voie du boulevard périphérique au covoiturage et au bus. Ils appellent la maire de Paris à « renoncer » à son initiative. Les signataires s'inquiètent de risques de « congestion du trafic » et de son « effet dramatique sur la qualité de l'air et la pollution dans toute l’IDF » Ils font état, six semaines après le lancement de la consultation de moins de 6000 personnes, alors qu'un million et demi de véhicules empruntent quotidiennement cette voie, et que les premières analyses révèlent qu’environ 85 % des contributeurs expriment leur opposition au projet. En paralléle une pétition « Touche pas à mon périph » en opposition au projet, a rassemblé en deux semaines, plus de 15 000 signatures.

     Ils demandent à la maire de Paris «d’engager sans délai, un vaste débat avec toutes les parties prenantes». Et dans le cas où elle persisterait dans sa volonté de supprimer une voie «nous demandons au gouvernement qu’une mesure de cette nature puisse – a minima – faire l’objet d’une étude d’impact préalable à toute mise en œuvre . Rien ne serait plus destructeur que d’aboutir à une mesure punitive pour les 10 millions de Franciliens auxquels le périphérique appartient au même titre qu’aux 2 millions de Parisiens» concluent les signataires parmi lesquels, Valérie Pécresse, Hervé Marseille, Roger Karoutchi, de nombreux maires des Hauts de Seine